Ces maladies sont toujours d’actualité avec une nette recrudescence chez les personnes infectées par le VIH en raison des comportements à risque. L’immunodépression des patients les rend plus vulnérables, les IST (infections sexuellement transmissibles) sont plus sévères. Le meilleur moyen de s’en protéger passe par la prévention. La puberté, qui correspond au passage de l’enfance à l’adolescence, puis à l’âge adulte fertile, se caractérise par des modifications physiques, hormonales et psychologiques. L’interruption volontaire de grossesse (IVG) est autorisée jusqu’à 12 semaines de grossesse (soit 14 semaines après le début des dernières règles). Les mineures ont accès à l’IVG dans le respect de certaines règles. La meilleure contraception c’est celle que l’on choisit. A travers ce site, l’INPES répond aux nombreuses questions qui concernent la contraception sous toutes ses formes. La pilule, comme l'anneau ou le patch, est une contraception oestroprogestative. Lorsqu'elle est bien prise, c'est un moyen de contraception efficace à près de 100 %, mais elle ne protége pas contre les infections sexuellement transmissibles comme l'hépatite B ou le VIH/sida. Oublis de pilule, problèmes de préservatif, ou rapport non protégé en général, posent la question d’une contraception d’urgence ou pilule du lendemain plutôt que le recours à une interruption volontaire de grossesse. Cette méthode est efficace mais attention : elle n’est pas sûre à 100 %. Toute femme diabétique peut bénéficier d’une contraception. Cependant, le diabète peut influencer le choix de la méthode. La collaboration avec le gynécologue va vous permettre d’opter pour la méthode contraceptive qui vous convient le mieux. Les troubles sexuels peuvent être la conséquence d’une maladie, de la prise de certains médicaments ou des suites d’une intervention. Le plus souvent, ils sont d'ordre psychologique. Ils sont plus fréquents chez l’homme que chez la femme. Le cancer et ses traitements peuvent avoir des conséquences importantes sur la sexualité masculine. Ces difficultés, même passagères, peuvent être difficiles à accepter. La maladie et ses traitements peuvent avoir un impact sur la sexualité. Cela est différent chez l’homme et chez la femme. |